DE LA PLACE DE L’HÔTEL-DE-VILLE À LA RUE RACINE
Cette rue, nouvellement percée, doit au voisinage de la salle des spectacles où les œuvres du grand tragique n’ont été d’ailleurs que bien rarement représentées, le nom qu’on lui a donné dans le travail général fait en 1843.
Les rues qui environnent le théâtre auraient dû plutôt, selon nous, rappeler les noms de quelques-uns des artistes et compositeurs célèbres qui ont vu le jour à Avignon, comme Mouret, Champein, Persuis, Trial et M. Favart.